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L'homme lesbien et la femme PD

L’Homme Lesbien...

Selon l'Urban Dictionary, un homme lesbien est un homme hétérosexuel qui vit dans le même état d'esprit qu'une lesbienne. Par conséquent, il lui est impossible de s’adresser aux femmes de la même manière que le ferait un homme hétéro classique. Il se sent lesbienne en tous points et cherche leur compagnie mais garde en lui cette réticence de pouvoir être rejeté, déçu, ce qui rend pour lui l'abordage plus délicat. Cependant, leur orientation sexuelle ainsi que leurs états d'esprit communs les rend très vite plus proche !

L'homme lesbien est donc principalement caractérisé par les traits comportementaux et spirituels suivants :

* il craind d'être rejeté ou d'être déçu
* il est d'une très grande sensibilité ce qui le fragilise
* il a de la femme, l'image d'une complice auquel il apporte force et respect
* il est ouvertement généreux et ne connait donc pas la jalousie
* il s'oppose à toutes valeurs machistes ou de supériorité, de domination
* il prône pour la liberté, l'échange et la communication intellectuelle
* il use de tendresse physique envers sa partenaire, recherchant son plaisir avant le sien (relation sexuelle analogue au saphisme)

Afin de mieux comprendre notre existence au quotidien dans ce monde très sectaire en principes, je vous conseille d'aller faire un tour sur le blog du Charmeur Mutin véritable encyclopédie existentielle de notre profil, méconnu même de la communauté lesbienne.

Quelques témoignages d'hommes lesbiens :

” Je m’adapte plus facilement à l’univers féminin que l’univers masculin, j’éprouve une certaine répulsion vis-à-vis des hommes et du monde machiste. Mes amours, mes amis, sont aux féminins sauf exception de deux hommes dont l’un est décédé malheureusement. Depuis haut comme trois pommes j’ai été élevé dans un milieu féminin croisant durant toute mon enfance des femmes adultes, avec la force des choses je suis devenu leur confident me racontant leur passion leur amour leur emmerdes, leur larmes leur rires faisait partie intégrante de ma vie je connais les hommes avec le regard féminin et je connais les femmes par leurs propres regards."

"J’aime les femmes, mais pas comme un homme ! heu… difficile à expliquer hum… j’aime les femmes par la douceur ce n’est pas mon appendice qui me guide pour être plus clair ! J’ai un très grand respect envers elle mes contacts amoureux se pose beaucoup de questions ben vi, je sème le doute sans vraiment le vouloir, l’amitié est toujours parfaite entre nous mais les amours pose problème, je me demande pourquoi d’ailleurs ? Je suis du genre passionné quand j’aime ce n’est certainement pas a moitié ça aussi ça pose problème ! mais je n’arrive pas a prendre cette identité masculine, je suis un peu comme un équilibriste ni l’un ni l’autre et un peu des deux à la fois ! un cocktail indigeste quelques fois ! “

 

Et un témoignage d'une femme pédé :

"

Moi je suis une femme PD

Je me sens un peu comme un mec ( gay ) emprisonné dans le corp dune femme, maintenant ce n'est qu'un état d'esprit et ça ne se reflète en rien dans l'image que je renvois puisque je suis ultra féminine !

Je suis de nature dominatrice, j'ai une approche du sexe assez crue, je trouve ( souvent ) les femmes niaises et les mecs hétéros ne m'attirent pas plus que ça. On a souvent dit de moi que j'étais une fille à PD, je recherche leur compagnie et ils apprécient très souvent la mienne.
D'ailleurs, il m'est arrivé plus d'une fois de franchir le pas avec eux ( et ne me dites pas que c'est parce qu'ils sont bis ! Non, de vrai de vrai, je vous dit )

A les entendre, j'ai certes des attributs " féminins " non négligeables ( lol ) mais je dégage une certaine masculinité qui provoque une attraction même chez les gays...

Comme le disait l'homme lesbien
Citation:
" Je m’adapte plus facilement à l’univers féminin que l’univers masculin,
j’éprouve une certaine répulsion vis-à-vis des hommes et du monde
machiste. Mes amours, mes amis, sont aux féminins "


Dans mon cas c'est totalement l'inverse " Je m'adapte plus facilement à l'univers masculin que féminin, j'éprouve une certaine répulsion vis-à-vis du monde féminin et de tous ces stéréotypes. Mes amours, mes amis, sont aux masculins...Les deux seules amies filles que j'ai sont une lesbienne hyper masculine et une transexuelle...Comme quoi ! "
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Commentaires

  • Je me sens exactement comme décrit dans ce blog..

    je suis un homme hétérosexuel qui vit dans le même état d'esprit qu'une lesbienne. Je me sent lesbienne en tous points

  • je me reconnais dans "la femme PD"...
    Je ne vois pas les hommes comme les autres filles...Plutôt du genre "oui il est beau mais je pourrais baiser avec lui que si j'étais un homme"(j'ai souvent un gout pour les hommes très éffeminés ou androgynes), même si l'homme en question est totalement hétéro...J'ai tenté l'experience de le faire avec un gay super ouvert d'esprit tantot en actif avec un gode ceinture tantôt en passif sans me servir de mes attributs feminins , finalement j'ai jamais autant pris mon pied et il m'a dit que lui aussi :3
    Malgré ça je souffre de n'être qu'une femme , et même s'il était possible cliniquement de devenir totelement un mec , je souffrirais toujours car je saurais que je suis née femme...Alors je finis par l'accepter , et je finis par être plutôt feminine , et séduire des hommes gays ou non , sans leur faire savoir ce que je ressens , seul mon meilleur ami (le gars de plus haut :3) le sait...

  • je suis un homme , je rassemble a une femme dans le corps, je comporte comme une femme, je me sens une femme lesbienne, j'ai les sentiments d'une lesbienne. j'aime les femmes mais pas autant un homme hetero. j'aime les femmes autant que une femme,je me sens une lesbienne soumise. je me sens alaise quand les amies me traite comme lesbienne et m'appel chaima. mon reve dans la vie est de partager ma vie avec une femme lesbienne qui me prends comme lesbienne soumise

  • Je pense que Mina a très bien défini le problème: ce n'est pas être ou devenir ce qu'on aurait aimé être, ce que nous voudrions parfois c'est être nés sous une autre forme, et là RIEN NI PERSONNE n'y peut changer grand-chose si nous n'admettons pas de faire une croix sur ce que soi-disant j'aurais aimé être (je dis soi-disant parce qu'il y a tellement de gens des DEUX sexes qui sont malheureux dans l'existence, qu'ils choisissent de changer de sexe ou non, que je me fais peut-être beaucoup d'illusions sur ce qu'aurait changé pour moi le fait d'être né du sexe opposé; ça aurait peut-être résolu un certain problème, en particulier pour beaucoup de garçons de naître filles aurait apporté à l'enfant un regard favorable de la part de sa mère et le cas inverse est possible aussi. Mais d'autres problèmes se seraient alors posés. Nos parents nous font souvent nous percevoir défectueux et nous ne savons pas, alors, ce qui cloche).

    Mais il faut trancher; le bonheur vaut bien ça, il faut faire une croix sur la forme sous laquelle nous aurions aimé venir au monde
    - et le faire VOLONTAIREMENT, TRANCHER EN FAVEUR DE LE FAIRE, c'est un mal pour un bien. Sinon nous ne serons pas une bonne compagnie pour nous-mêmes ni pour personne.

    Oui, il FAUT trancher, même si je change de sexe comme tu le dis Mina, cela n'empêchera pas que ce que je convoite - et qui est destructeur de moi alors même que je crois chercher à me construire - ce n'est pas le "devenir", mais l' "avoir toujours été". Je n'aurai jamais l' "avoir toujours été" ou le "ne jamais avoir été".

    Que vais-je faire alors? Je sais que si je n'accepte pas de trancher - même si ça fait mal - avec cette chimère je ne serai jamais heureux/se. Ce n'est pas seulement moi qui vais en pâtir. C'est aussi tous ceux à qui je pourrais apporter car la tristesse engendrée par ce que j'appelle mon plus grand malheur risque de me rendre incapable d'apporter à l'autre. Moi-même je ne ferai pas attention à moi, parce que je ne serai pas celui que je veux. Alors c'est beau dans les films, un héros romantique ténébreux au regard triste, mais veut-on vraiment jouer ce rôle?

    Idem dans d'autres cas. Imaginons que je sois mortellement déçu par mon corps, parce que j'ai - pour un homme - des organes génitaux minables à mes yeux, ce qui arrive souvent aujourd'hui parce que le porno présente hommes et femmes comme du bétail à vanter et les étalons abondent dans ce genre de ciné; ou - pour une femme - des seins minuscules à mes yeux (rien d'exhaustif; à ses yeux, on se trouve bien trop imparfait car notre regard est égocentré et la perfection ou ce qu'on appelle tel est, nous concernant, souvent rien moins que le minimum).

    Si on me dit que ce n'est pas le cas, je risque de refuser qu'on me dise "à mes yeux, tes organes ne sont pas si mal" ou "à mes yeux, tes seins ne sont pas si mal" parce que j'aurais aimé ne jamais avoir cette perception négative de moi-même, par ailleurs je risque de ne pas lâcher prise de cette vision négative de moi car se plaindre, c'est parfois une bonne affaire parce qu'on espère une consolation; lorsqu'elle ne vient pas, ça fait une raison supplémentaire de se plaindre, et de se plaindre pour obtenir une consolation qui ne vient jamais devient une mauvaise habitude, une habitude manipulatrice qui ne m'apporte aucune consolation mais surtout du mépris.

    La Vie pourtant pourrait me consoler si j'acceptais que ce que je ne suis pas, je ne le suis pas, et si je reconnaissais que je suis née tel que je suis.

    Si on me dit: "tes organes, c'est vrai, ne sont pas énormes, mais je t'aime quand même et tu me donnes du plaisir", ou bien "tes seins, c'est vrai, ne sont pas énormes, mais j'aime à les regarder, à les prendre dans mes mains, à les caresser" je risque de refuser qu'on me dise cela parce que ce que j'aurais souhaité c'est le non-brisement de mon ego, l'autarcie de l'amour, j'aurais voulu être conforme à ce que j'appelle acceptable - parce que je suis influencé par des milliers de critères compétitifs et autres - afin de pouvoir m'autolâtrer, contempler ma propre image. Et surtout je sais que les gens se fichent les uns les autres allègrement à la poubelle en fonction de critères parfois ridicules, avec la plus grande joie.

    C'est pour cela que ceux qui ont la foi parlent de la croix de Jésus - qui a dit "Je suis la Vie" - comme la possibilité de briser avec soi pour se retrouver, non plus seul, mais l'égo brisé et convaincu de ne pas être en autarcie, ayant compris que pour que ma vie ait un sens je dois croiser le chemin des autres tous faits sur le même modèle et ne pas chercher à me donner un sens en m'orientant vers une image de ce que soi-disant j'aurais dû ou pu être.

  • Ca fait ,depuis mon enfance !qu une queston me tarodait !.ma reponse :j suis tout seul.peut etr etant elever par 2 femmes(t inquiet maman j suis fier!)expliquait mon eteat d esprit .et non j suis pas seul moi emmanuel aime une fille qui ne devrai pas (m aimer ) brdf cool

  • C'est exactement moi....

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